Et même si le fléau ne fait que commencer dans l’Hexagone, le nombre des femmes qui se sont inscrites sur ces sites incite déjà les associations sociales à tirer la sonnette d’alarme. En effet, depuis leur création au mois de février dernier, près de 40 000 françaises se sont inscrites sur ces sites et dont 7 500 d’entre elles sont encore des étudiantes.

Ce nouveau travail attire plus d’une étant donné que l’argent issu est important atteignant les 3 000 à 4 000 euros par mois. De plus, l’inscription dans les sites est très facile car il suffit d’y mentionner les informations relatives à la personne. Toutefois, les sites demandent également à ce que le niveau de vie des adhérentes soit renseigné.
Mais même si les sites annoncent l’interdiction de faire des relations sexuelles avec les clients en échange d’une somme d’argent ou d’un cadeau, aucune personne ne peut limiter les relations entre les « sugar daddies » et les « sugar babies ».
Ainsi, les associations visant la protection de la femme annoncent que ces sites cachent bien leur jeu et profite des difficultés financières de ces femmes en les exposant à une prostitution moderne déguisée.
Même si ces sites s’annoncent néfastes pour les associations sociales, aucune procédure judiciaire ne peut encore être ester contre leurs créateurs. Mais les associations ne baisseront pas leurs bras avant de trouver une solution efficace pour lutter contre cette nouvelle forme de prostitution.