Une hausse des assurances habitation suite aux intempéries

En Amérique, plus précisément à l’école de médecine de Stanford, les étudiants chercheurs annoncent que le dépistage d’un cancer (du sein, de la prostate ou du poumon) pourrait se faire par une prise de sang d’ici cinq à 10 ans. En effet, ces chercheurs sont en train de mettre en place le nouvel outil de dépistage du cancer appelé CAPP-Seq (Cancer Personalized Profiling by deep Sequencing ou profilage personnalisé du cancer par séquençage profond).

Ce nouvel instrument permet de mesurer le taux de cancer dans une personne et d’analyser les traitements anticancéreux correspondants. Ce nouvel outil est capable de détecter les cancers du poumon au stade 1 et toutes les autres formes de cancer aux différents stades d’évolution. En Hexagone également, des chercheurs issus de l’Institut Curie à Paris sont également à pied d’œuvre pour mettre en place une nouvelle technique sur la base d’analyse de sang pour détecter le cancer de mélanome de l’œil qui est indiqué comme le cas de cancer le plus fréquent chez l’adulte. Ainsi, nos braves chercheurs Marc-Henri Stern et Olivier Lantz ont trouvé un nouveau moyen pour détecter ce type de cancer via l’ADN tumoral du patient. Cet outil détecte l’existence d’un cancer par l’analyse de la quantité d’ADN dans le patient. Cette nouvelle technique est très pratique de par la simplicité de sa réalisation qui peut se faire dans tous les laboratoires de biologie moléculaire clinique mais également de son fait coût. Mais ces chercheurs qui sont convaincus que cette technique est capable de détecter la présence d’une tumeur chez l’homme, ils ne resteront pas à ce type de cancer et envisagent déjà de créer un outil de même fonctionnement pour détecter les autres cas de cancer.

Ce nouvel instrument permet de mesurer le taux de cancer dans une personne et d’analyser les traitements anticancéreux correspondants. Ce nouvel outil est capable de détecter les cancers du poumon au stade 1 et toutes les autres formes de cancer aux différents stades d’évolution.

En Hexagone également, des chercheurs issus de l’Institut Curie à Paris sont également à pied d’œuvre pour mettre en place une nouvelle technique sur la base d’analyse de sang pour détecter le cancer de mélanome de l’œil qui est indiqué comme le cas de cancer le plus fréquent chez l’adulte. Ainsi, nos braves chercheurs Marc-Henri Stern et Olivier Lantz ont trouvé un nouveau moyen pour détecter ce type de cancer via l’ADN tumoral du patient. Cet outil détecte l’existence d’un cancer par l’analyse de la quantité d’ADN dans le patient. Cette nouvelle technique est très pratique de par la simplicité de sa réalisation qui peut se faire dans tous les laboratoires de biologie moléculaire clinique mais également de son fait coût.

Mais ces chercheurs qui sont convaincus que cette technique est capable de détecter la présence d’une tumeur chez l’homme, ils ne resteront pas à ce type de cancer et envisagent déjà de créer un outil de même fonctionnement pour détecter les autres cas de cancer.